Derrière le Guichet
Difficile de passer à côté aujourd’hui : notre société fait face à la nécessité d’un changement systémique majeur.
Les promesses de solution technologique, de croissance “verte” ont fait long feu et nous convainquent de moins en moins (voire plus du tout).
Nous sommes de plus en plus à être conscients de l’importance de changer nos modes de vie et de consommation.
Cette démarche, nous l’éprouvons depuis plusieurs années déjà, et au fil de l’eau, nous avons pu tenir quelques constats :
c’est compliqué
et cela peut prendre
du temps !
des informations fiables et indépendantes.
Bienveillance et écologie font parfois mauvais ménage,
que ce soit en ligne
ou dans la vraie vie.
Dans cette démarche, les algorithmes nous épuisent :
rien ne remplace les conseils
et l’accompagnement humain.
Ce sont ces constats qui nous ont donné l’idée du Guichet :
l’envie de transmettre de l’information, d’aider aux changements d’habitudes, de manière personnalisée et dans l’anonymat d’une interaction privée.
Notre équipe
Marielle
Guichetière
Son déclic, elle l’a eu en 2016, alors qu’elle pensait tout bien faire en triant ses déchets. Depuis, elle a découvert qu’il y avait mille et une façons de réduire son impact environnemental, par des gestes simples, tant dans sa vie pro que perso. Véritable amoureuse de la nature, elle aime avant tout tisser du lien social, faire des découvertes, et surtout partager ses astuces et bonnes adresses.
Julie
Guichetière
Julie a toujours été sensible aux enjeux écologiques. Mais c’est en 2016, suite à la rencontre de la Famille Zéro Déchet qu’elle réalise que ses engagements sont plus théoriques que pratiques : elle se découvre dilettante ! Depuis, elle n’a de cesse de chercher à mettre en cohérence ses valeurs et ses actions au quotidien, que ce soit dans sa vie personnelle comme dans sa vie professionnelle.
Angélique
Guichetière
Un couple d’amis a planté la première petite graine de prise de conscience écologique chez elle. Depuis la graine a bien poussé ! Petit à petit, elle a modifié ses habitudes quotidiennes (et continue encore !) pour une vie plus saine et sobre, et découvert qu’on pouvait en même temps y prendre du plaisir. Elle aime la planète Terre, s’émerveille de sa beauté et, à son échelle, tente de la protéger.
Anne-Sophie
Guichetière
Premier enfant, premiers questionnements : la nourriture, le soin. Deuxième rebelote : les vêtements, les jouets. Un troisième enfant et un abonnement à un magazine local inspirant plus tard, voilà sa transition complètement sur les rails ! Sa vie professionnelle y passe aussi, avec un nouveau fil rouge : accompagner le plus de personnes possibles à se mettre en mouvement.
Sophie
Guichetière
Le film Demain et les aventures de la Famille Zéro Déchet ont fini de la convaincre et de l’embarquer dans le voyage de la transition écologique. Elle a bifurqué pas à pas et (re)pensé ses modes de vie et de consommation. Son crédo ? Pourquoi acheter si on peut faire soi-même ou réutiliser ce qui existe ? Si le neuf finalement s’impose, il passe au crible d’une sacrée analyse comparative !
De l'autre côté du Guichet
Devenir guichetier⋅ère, c’est avoir un goût prononcé (voire déplacé !) pour la recherche d’informations,
être un⋅e fouineur⋅se invétéré⋅e, un⋅e féru⋅e de bonnes trouvailles !
C’est aussi avoir envie d’embarquer les autres dans ses découvertes,
de comprendre ce qui motive les gens à bouger et de faire grandir les envies d’agir.
Envoyez un email à comptoir@le-guichet.org !
Manifeste
À l’origine du Guichet, il y a cette conviction fondamentale que nos habitudes de vie et de consommation sont un héritage.
Un héritage pas toujours conscient, et pas toujours en cohérence avec nos valeurs et aspirations profondes.
Un héritage qui nous vient de notre éducation bien sûr, mais surtout, du modèle de société qui nous est présenté (ainsi qu’à nos parents) depuis plusieurs dizaines d’années.
Ce modèle qui nous veut consommateur⋅rice⋅s, alors que nous mériterions toutes et tous de redevenir, non des consomm’acteur⋅ice⋅s, mais bien des citoyen⋅ne⋅s.
Nous croyons :
Ils ne sont pas un marché potentiel, mais bien un objet à questionner, un horizon de possibles à investiguer.
Que nous avons un droit inaliénable à une information indépendante, libre de tout conflit d’intérêt.
Que c’est la clef du vivre-ensemble, de nos démocraties, de notre statut d’hommes et de femmes libres.
Que l’aide d’un humain ne sera jamais totalement remplacée par un algorithme.
Mais enfin, et surtout :
Qu’il y a une richesse indéfinissable dans le fait de s’adresser les uns aux autres plutôt qu’à une machine.
Cette richesse qui fait que tous ensemble, nous faisons société.